Les Aigles Impériaux
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 L'espionnage sous l'Empire

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MessageSujet: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyDim 11 Jan - 18:37

Doué d'une exceptionnelle puissance de travail Napoléon tenait à être informé de tout et décider de tout ce qui devint de plus en plus compliqué à mesure que s'étendait l'empire sur lequel il régnait.
L'espionnage est un des moyens mis en oeuvre pour réunir cette information. Les documents et témoignages parvenus jusqu'à nous montrent l'intêret que L'Empereur porta à la quête du renseignement. Dès 1796, en Italie, le général Bonaparte prescrit à ses généraux l'envoi d'espions chez l'ennemi afin de connaître sa force, ses positions et ses mouvements. En décembre 1802, pendant la courte paix d'Amiens, il envoie le commandant Beauvoisin en Angleterre pour y observer la situation politique, surveiller les émigrés et étudier les ports.
En 1805, lorsque l'horizon s'assombrit du côté de l'Autriche, il prie le nouvel ambassadeur à Vienne, La Rochefoucauld, de rejoindre sans délai son poste afin de pénétrer la politique du Cabinet de Vienne, de découvrir ses rapports avec Londres et Saint-Pétersbourg et surveiller la préparation et les mouvements de l'armée autrichienne. Des instructions similaires sont données en 1809, et les représentants de la France en Bavière, en Saxe et en Pologne sont chargés de "monter des espionnages". Un an plus tard, Napoléon envisage la possibilité de prendre pied en Algérie pour gêner l'Angleterre. Il y envoie le chef de bataillon Boutin en mission secrète. En 1811 durant la préparation de l'affrontement avec la Russie, il charge le baron Bignon, représentant français à Varsovie, de mettre sur pied une organisation d'espionnage militaire contre la Russie.
Pendant la campagne d'Allemagne en 1813, il harcèle le ministre des relations extérieures, ses maréchaux, généraux et diplomates pour obtenir des informations. Toutes sortes d'information allant du simple commérage aux informations des plus hautes instances.
Il en sera ainsi jusqu'à Waterloo...

Si les espions, aujourd'hui, bénéficient d'une aura due à leurs exploits clandestins et si on les associe volontiers à l'image d'un James Bond élégant et charmeur, il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a longtemps eu dans l'espion une connotation péjorative liée à la nécessaire trahison que supposent ses activités pour réussir. Il n'est pas fréquentable car il est prêt, contre espèces sonnantes et trébuchantes, à vendre des secrets dont il a dérobé la teneur en feignant l'estime du prince ou du général qui les possèdent. Et n'est-il pas porté, pour peu que celui qui l'a démasqué le paye, à se retourner sans état d'âme contre le camp au service duquel il s'est placé jusqu'ici pour exercer son office occulte ? Tant il est vrai que, dans l'opinion commune, son ambition ne se mesure pas à l'aune des principes qui régissent le code des hommes d'honneur...

Sans doute Schulmeister, l'espion emblématique de Napoléon 1er, l'un des tout premiers de sa catégorie dont l'histoire ait retenu le nom au point qu'un téléfilm lui fut consacré avec Jacques Fabbri dans le rôle éponyme, n'échappe-t-il pas lui-même à ce discrédit. On est encore, à son époque, dans l'ère du soupçon. Il en va des espions comme de ces créatures que l'on achète à prix d'or à des fins toujours inavouables. La notice «espion» de L'Encyclopédie Méthodique, dans son édition de 1785, moins de vingt ans avant que l'ombre de Schulmeister commence à s'agiter de part et d'autre des lignes autrichiennes et françaises, est éloquente à cet égard. Pour résumer l'auteur, Jean-Girard Lacuée (1752-1841), spécialiste fort écouté en son temps des questions militaires, ces gens-là, les espions, sont d'une pâte différente et mieux vaut se préserver de leur commerce, même lorsqu'ils travaillent pour vous :

«Tous sont portés par l'avidité du gain (...) En général, il faut toujours tirer des instructions des espions, & ne jamais s'ouvrir à eux. Il faut pour un même sujet en employer plusieurs qui ne se connaissent point, ne communiquer avec eux qu'en secret, les entretenir souvent de choses sur lesquelles on ne se soucie point d'être éclairci, les faire parler beaucoup & leur dire peu de chose, afin de connaître leur caractère d'esprit & et leur portée ; les faire espionner eux-mêmes, après que l'on se sera séparé d'eux, pour savoir s'ils ne sont point doubles, ce qui arrive fort souvent».

Schulmeister a souffert de cette déconsidération unanimement partagée sur une profession lucrative mais non reconnue, voire honteuse, chargée d'opprobre et tenue pour être à l'art militaire ce que le gâte-sauce est à l'art de la table. Paul Muller rapporte la fameuse anecdote selon laquelle Napoléon, sollicité par son «maître-espion» sur la Légion d'honneur qu'il voyait bien agrafée au revers de sa veste pour services rendus à l'Empire, aurait eu cette réponse qui ne ménageait guère les susceptibilités : «De l'argent, tant que tu voudras ; la croix, jamais. Je la réserve à mes braves». Entre les vieux grognards de son état-major ou du gros de la troupe et ce personnage couleur de muraille qui vendait ses talents au plus offrant, l'Empereur avait choisi. Beaucoup plus tard, sous la Restauration, un écrivain s'avisant de publier un article sur Schulmeister traité par lui d'espion, s'exposera à un violent coup de sang dudit espion dont la quête d'honorabilité, depuis qu'il avait quitté son emploi, se trouvait contrariée ici par le rappel inopportun de sa qualité passée. Lui-même se présentait volontiers comme ancien commissaire général des armées, fonction apparemment fort estimable mais suffisamment vague dans son intitulé pour en dissimuler de plus obscures.

D'emblée, l'homme nous renvoie de lui une image opacifiée à plaisir. Paul Muller ne se méprend pas sur la véracité des origines hongroises que Schulmeister s'attribuera, une fois retiré des affaires, dans ce souci obsessionnel d'appartenir à la bonne société. Si rien n'est vrai, rien non plus n'est tout à fait faux. Il participe à sa légende en se créant un personnage aussi divers que le lui permettent ses grimaces et ses déguisements qui ont fait sa réputation au cours de ses indicibles aventures. Faut-il alors tout rejeter à défaut d'ajouter foi aux récits innombrables qui courent sur son compte ? Non, bien sûr, et surtout, comme pour tous ces fantômes arrachés à leur néant, on a tellement envie d'y croire un peu qu'il est difficile de résister. On aimerait tant qu'ici et là la fiction fût vraie.
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Bruix

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MessageSujet: Re: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyDim 11 Jan - 19:32

Merci pour ton article, il est vrai que l'espionnage était vraiment aussi important que les batailles elles-mêmes ...

merci encore
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Louis

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MessageSujet: Re: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyDim 11 Jan - 19:46

De même que Bruix ^^, Napoléon avait développé un formidable réseau d'informateurs, merci à toi de nous éclairer sur le sujet Wink
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O'Higgins

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MessageSujet: Re: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyLun 12 Jan - 4:11

Napoléon savait qui, ou et quand. Un avantage évident sur le champ de bataille.
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MessageSujet: Re: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyLun 12 Jan - 11:06

Charles Louis Schulmeister (Karl Ludwig Schulmeister), né le 5 août 1770 à Neufreistett dans le pays de Bade et mort le 8 mai 1853 à Strasbourg-Meinau, est resté célèbre pour sa carrière d'espion à la solde de Napoléon Ier.

Le contrebandier

Il est fils d'un sous-intendant qui le fit entrer à 15 ans comme cadet dans les hussards de Conflans qu'il quitte presque aussitôt pour terminer ses études. En 1788, il est actuaire (secrétaire chargé de rédiger des actes publics) au bailliage de Kork, sur la rive droite du Rhin. Il n'y reste que peu de temps et se livre ensuite à l'agriculture. En 1792, il se marie à la fille du directeur des mines de Sainte-Marie-aux-Mines.

Profitant des troubles en France, il se livre à la contrebande, activité rentable mais dangereuse. Il la pratique à une grande échelle, fondant ainsi le début de sa fortune. En 1800, il ouvre une manufacture mais ses activités de contrebandier le mènent à des activités d'espionnage sur le Rhin et en Allemagne de manière sporadique. Ce n'est qu'en 1804 qu'il s'y livre de manière exclusive.

L'espion

Schulmeister est présenté à Paris en 1804 par l'aide de camp Jean Rapp, un compatriote, à Napoléon. Il y reçoit un grade dans l'armée et est attaché à Savary. Fin, rusé, et totalement dévoué à Napoléon, Schulmeister devient l'un des plus habiles et discrets agents de la police impériale. Il est ainsi chargé de missions de confiance restées mystérieuses.

Au début de la campagne de 1805, alors que le général autrichien Karl Mack est assiégé dans Ulm, il y pénètre par une poterne sous un déguisement et rencontre Mack à plusieurs reprises en se faisant passer pour un hongrois. Ces rencontres seraient à l'origine de l'inexplicable capitulation de Mack après la bataille d'Ulm. Il amène Mack à croire à un coup d'état pour renverser Napoléon et lui fait croire que les armées de Napoléon seront bientôt parties. Il fait fabriquer un faux exemplaire de journal pour l'en convaincre. Ainsi, Mack peut-il rester dans Ulm en attendant ses alliés, ce qui constitue une faute militaire que Mack paiera cher.Dans une autre mission, il est capturé par les Autrichiens qui envisagent de l'exécuter mais il parvient à s'échapper.

Son audace le pousse à aller jusqu'à participer à un conseil de guerre en présence de l'empereur d'Autriche, après avoir soudoyé un général autrichien...

Après la prise de Vienne, Napoléon le nomme commissaire général de la police de la ville, où il assure l'ordre et la tranquillité pendant toute l'occupation avec des effectifs très faibles.

Après le traité de Presbourg en 1805, il achète le domaine de la Canardière à Meinau, au sud de Strasbourg, où il se retire.


L'agent au combat

La campagne de Prusse le rappelle à l'armée où il reçoit le commandement d'un petit corps d'avant-garde composé d'une partie du 1er régiment de hussards et du 7e chasseurs à cheval. Après la bataille de Warren, il reçoit l'ordre de poursuivre le général Usedom puis de s'emparer de Wismar. Escorté de sept hommes, il prend la ville de nuit en faisant prisonniers une quinzaine d'officiers et une centaine d'hommes composant la garnison de la ville. Attaqué par un escadron de hussards, il parvient à les repousser. Le lendemain, Savary, à la tête de cinquante hommes et d'une bonne artillerie, marche contre le corps d’Usedom fort de trois mille hommes qui se rend presque sans combat.

De Wismar, Schulmeister s'empare, avec vingt-cinq hussards, de Rostock où il trouve dix-huit navires dans le port. La ruse, la séduction qu'il déploya dans d'autres cas semblables furent déterminant, plus que la force brute. Il participe au siège de Dantzig et après la capitulation de la ville, il rejoint la Grande Armée pour la seconde campagne de Pologne. Il est sous le commandement de Savary à la bataille de Friedland.


Le policier

Au lendemain de l'occupation de Koenigsberg, le 16 juin 1807, il est nommé commissaire général, fonction qu'il remplit jusqu'au traité de Tilsit. A l'entrevue d'Erfurt (27 septembre - 14 octobre 1808), il est chargé de la sécurité des deux souverains.

Après la reddition de Vienne, le 15 mai 1809, Andréossy, nouveau gouverneur de la ville, reçoit l'ordre de Napoléon de former « un comité de police, composé de trois membres, un de l'ancienne police, un Français et un autre, qu'on nommera ». Andréossy propose de nommer « M. Schulmeister commissaire général du comité de police ». Ainsi, le 18 mai 1809, la police lui en est une seconde fois confiée, tâche qu'il assume avec modestie, sagesse et talent.

A la paix de Vienne, il se retire officiellement à Strasbourg mais continue ses activités secrètes par de fréquents voyages à l'étranger sous le couvert de ses affaires.


Les risques du métier

Sous la Première Restauration, il maintient ses contacts actifs et complote pour le retour de l'Empereur. Après le 20 mars 1815, il effectue encore des missions pour l'Empereur pendant les Cent-Jours. Mais cela lui vaut d'être remarqué par les puissances du Congrès de Vienne qui le mettent sous surveillance.

Au cours d'un de ses voyages, Blücher le fait arrêter par ruse, le 27 juillet 1815. Il est mis en prison pendant quelques mois mais l'instruction judiciaire dont il est l'objet est finalement abandonnée. Libéré, il rentre à Paris et partage désormais son temps entre Paris, Strasbourg et la campagne.

Il organise des fêtes somptueuses dans son domaine de Boissy-Saint-Léger, où il meurt. Il est enterré au cimetière Saint-Urbain de Strasbourg.


Anecdotes

Sa vie a inspiré la trame de la série télévisée Schulmeister, espion de l'empereur, diffusée en France de 1971 à 1974 :
http://www.napocinepedia.net/schulmeister-espion-de-l-empereur-f6/schulmeister-feuilleton-t10.htm
http://fr.youtube.com/watch?v=3iw4mlOX5xs


Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Louis_Schulmeister


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Bruix

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MessageSujet: Re: L'espionnage sous l'Empire   L'espionnage sous l'Empire EmptyLun 12 Jan - 11:19

Impressionnant ... comme quoi les espion était déjà des "bonds" avant même que l'histoire ne soit créee
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